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QUELQUES
RÉALISATIONS EN
ATELIER DE
MARIONNETTES
ANNÈES 1995 / 2005.
À
partir de la rentrèe 1995/1996, les ateliers vont
énormément évoluer.
D'abord, parce que de nouveaux types de structures vont faire appel
à
nous. Ensuite, parce que des écoles vont organiser des
activités dans
le cadre des projets ARVE (aménagement du rythme de vie de
l'enfant).
C'est le cas des écoles de Cuisery et de Simandre, (71) par
exemple.
Tout cela va amener à concevoir de nouveaux modèes
de marionnettes
pour les ateliers, et notamment des animaux de toutes sortes, ainsi que
des marionnettes à fils. Mais
une autre raison m'a poussé à développer
.
En janvier 195 je dois
subir une opération qui va m'empêcher pendant 2 mois
de lever le bras gauche. Dans mon métier c'est assez
dramatique et cela a eu de lourdes conséquences. Dans un premier
temps il a fallu faire reporter les spectacles quand c'était
possible, Restaient les ateliers, mais il fallait être
à même de proposer bien d'autres modèles pour
répondre à tous les thèmes demandés par les
écoles, notamment..
En février, je
suis allé à
Chagny, animer des ateliers pour des formateurs BAFA. Le but
était de leur apprendre non à faire mais à faire
faire des marionnettes. Nous avons travaillé sur Pinocchio.
Construction des marionnettes et montage du spectacle sur 1 week-end.
L'histoire comporte des animaux : 1 grillon, 1 renard, un chat, des
ânes... Ce furent les premiers patrons qui furent suivis de bien
d'autres. Au fur et à mesure des années le "cheptel"
s'est étoffé avec toutes sortes d'animaux, de la poule au
lapin en passant par les loups et les animaux de la ferme.
Toutes ces marionnettes
sont basées sur le
même mode de construction, c'est la forme qui change et la
décoration, mais l'essentiel de la fabrication est identique.
Vous pouvez d'ailleurs
voir une bonne partie de ces
modèles dans la galerie photos des ateliers de construction
(fermez simplement la nouvelle
fenêtre qui s'est ouverte
pour revenir ici)
.
En juillet 1995, à Bellefontaine, le
temps avait été horrible. 14 jours de pluie sur 21. La
pluie là-haut en juillet, c'est un temps de fin octobre en
plaine. Toutes les sorties des après-midi ont été
chamboulées et il a fallu improviser des activités.
.
Un groupe de
filles de 8 ans a souhaité
refaire des marionnettes. Elles avaient toutes un passé de
séjours en colo et une "longue" expérience des
marionnettes avec moi. Il était souhaitable de trouver autre
chose que les marottes habituelles à leur faire fabriquer. Je
pensais à des marionnettes à fils simples mais je n'avais
que 2 heures pour tout préparer.
En faisant un
inventaire de tout ce qui était
disponible dans la réserve de matériels divers, j'ai
trouvé des traversins éventrés, une grosse barre
à rideau en bois, les cordes cassées de
balançoires, des assiettes en carton et ... des
martinets. Ils étaient neufs, mais les lanières de cuir
étaient toutes mal fixées sur le manche, les clous
passaient à travers. Ils avaient été donnés
à la colo pour récupérer les lanières. Il y
avait aussi des sortes de couettes toutes décousues. De
mon coté, je disposais de boules en bois, de colle, de peinture,
de tissus noir, de tasseaux carrés d'1 cm de section et de fil
de nylon.
.
La mise au point dans
ma tête s'est faite en
une seconde : la corde allait servir à faire le cou, les
lanières pour les pattes et les assiettes en carton à y
découper les pieds et le bec. Avec la garniture de la couette on
pourrait faire les ailes. Il me restait à tracer le patron d'un
corps sur du tissus noir. Une rondelle de la grosse barre à
rideau en bois pour alourdir les pattes et c'est ainsi qu'est né
le modèle d'autruche.
À ma
connaissance il n'existe pas de photos
de cet atelier mais voici un lien vers la vidéo du spectacle : Vidéo autruches
Toutefois j'ai réalisé une capture d'écran dont
vous voudrez bien excuser la piètre qualité.
La
qualité d'image n'est pas géniale, mais on voit quand
même à quoi les autruches ressemblaient à leur
création.
.
Une
variante des autruches, avec ses ailes en plumes.
Généralement elles sont réalisées en
polaire ou en fourrure de façon à ce que les
constructeurs aient à faire autre chose que du simple collage.
.
De retour à la maison, j'en ai fait fabriquer
une par ma fille Elodie qui avait 12 ans, pour mettre le doigt sur les
points à améliorer. Ce prototype est toujours
exposé comme modèle quand j'anime un atelier "autruche".
Les ailes et la queue ont été faites dans de la polaire,
des plumes ou de la fourrure, et peu à peu des astuces de
fabrication ont été découvertes comme la fixation
invisible du fil de la tête et l'accrochage réglable des
fils sur la croix de contrôle. Des variantes ont rapidement
été construites. A l'heure actuelle, il est possible de
la faire construire par des enfants de CM sur la journée.
.
. Autre
variante, construite en atelier à la foire de Villars les Dombes
par une fille d'une douzaine d'années qui a absolument voulu
qu'elle ait des cheveux.( Ben quoi ? Pierre Gripari avait bien une
grenouille à cheveux dans "La sorcière du placard aux
balais ! )
.
En 1996, je suis allé
avec ma collaboratrice Nathalie plusieurs mardis en suivant, pour un
atelier de construction un peu spécial : Former des membres du
personnel du CHS de Sevrey (71) à la construction et à la
manipulation de plusieurs types de marionnettes de façon
à ce qu'elles puissent s'en servir mais aussi en faire fabriquer
à leur tour par des résidents. Ce fut une
expérience enrichissante parce que les participantes avaient des
notions et des pratiques de la marionnette très
différentes, Ont été abordées aussi bien
les marottes que les marionnettes à fils et chacune a construit
éxactement ce qu'elle voulait. Par rapport à d'autres
sessions avec des adultes, celle-ci fut très technique.
.
C'est évident que j'exerce mon
activité très majoritairement avec des enfants, mais
quand j'ai à la pratiquer auprès d'adultes qui ont
forcément beaucoup plus de connaissances et
d'expérience, non pas forcément de la marionnette mais du
travail manuel ou de la pédagogie par exemple, et non seulement
par rapport aux enfants mais aussi par rapport à moi, cela
fait relativiser ma position par rapport à l'auditoire.
Je passe
ainsi parfois de la position de "maître" que je peux avoir dans
ma partie, à celle "d'élève" parce que j'ai aussi
beaucoup à apprendre des autres, et ce dans tous les domaines
qui peuvent se rattacher à mon activité.
.
J'ai ainsi appris à aborder ou
maîtriser des techniques auxquelles je n'avais jamais
touché pour les appliquer à la marionnette, parce que des
animateurs (et même beaucoup plus souvent des
animatrices, les hommes étant souvent plus versés dans
des activités plus sportives) de centres de loisirs les
utilisaient avec les enfants.
.
J'entends parfois parler avec une certaine
condescendance des "instits de maternelle", des animateurs de colonies
de vacances ou de centre de loisirs voire des Atsem. On trouvera
toujours des "tire-au flanc", on en trouve partout, mais dans leur
immense majorité ce
sont des gens qui exercent leur métier avec une passion, un
dévouement et une forme d'amour des enfants qu'on n'imagine pas.
C'est en tous cas parmi ces "gens là" que je me sens le
plus à l'aise pour exercer mon métier.
.
En 1996 et les années suivantes, je suis
allé à l'école primaire de St Maurice de Beynost
(01), dirigée par Mme Grumel que j'avais déjà
rencontrée en 1991 lorsque je suis allé faire un des
premiers ateliers dans sa classe de l'école de Miribel.
À St Maurice, la population est un
véritable "melting pot" et les classes de CP n'y
échappent pas.
Pour leur apprendre la lecture et l'expression
française, ils ont travaillé tout le 1er trimestre sur
des petits contes. Je
suis donc allé leur en faire construire
les marionnettes.
Réalisation
des cheveux à St Maurice de Beynost
.
En octobre 1997, c'est à l'école de
Jambles (71) que je suis allé créer "le joueur de
flûte de Hamelin". Je l'avais fait à Bellefontaine avec
des "grands". En cliquant sur ce lien vous pourrez voir
la vidéo : Vidéo Joueur de flûte
L'atelier de Jambles est décrit dans une page qui lui est
consacrée, vous trouverez le lien en bas de cette page.
Les
élèves de la classe unique de
Jambles réalisant la chevelure de leur marionnette.
.
L'année 1998 fut "riche" en ateliers de
construction. Cela a commencé par l'atelier du LEPA de Tournus.
Là aussi, une
page lui est consacrée, vous trouverez le lien en bas de
cette page.
Lés
élèves du LEPA pendant le spectacle.
Le 12 février 1998, c'est à l'école de Baudemont
qu'eut lieu une expérience qui ne s'est jamais renouvelée
depuis : un atelier pour toute l'école en même temps soit
70 élèves.

Les 70 enfants remontant leurs manches avant le collage des têtes. |

Les 70 socles avec les têtes sêchant au soleil. |
.
L'expérience ne s'est jamais renouvelée parce que je me
suis juré de ne jamais plus animer un atelier de construction
dans ces conditions. Non qu'il se soit mal passé, le
résultat "matériel" a été de bonne
qualité, mais il est impossible de se consacrer à chaque
enfant comme il le faudrait. Je devais quasiment me contenter d'assurer
une sorte de cours magistral, repris par les enseignants et les parents
venus aider. Il a fallu attendre les vacances de février
1999 pour que je sois remis devant un tel effectif mais l'organisation
fut totalement différente.
.
En février 1999, c'est au Foyer Rural de Marigny le Cahouet
qu'il fallut organiser un tel atelier pour un effectif semblable.
A Baudemont , les adultes ont découvert la construction en
même temps que les enfants, ils n'en connaissaient rien
auparavant. A Marigny, j'ai demandé aux responsables du Foyer
Rural d'organiser un atelier pour elles, de façon à ce
qu'elles sachent exactement ce qu'il allait se passer le jour J. Elles
sont donc venues à 3 chez moi et nous avons passé
quelques heures à construire des marionnettes. Sachant comment
l'atelier serait conduit, pouvaient encadrer beaucoup plus facilement.
L'atelier s'est retrouvé divisé en plusieurs
sous-ateliers, en regroupant les enfants par âges. L'ambiance
était beaucoup plus détendue. A partir de ce jour
là, les ateliers avec de gros effectifs ont été
menés de cette façon.

Les organisatrices de Marigny venues ches moi pour préparer
l'atelier. |

Le groupe des grands à Marigny. |
.
En avril 1999, le centre aéré Les Bleuets,
dépendant de l'association des Familles Charollaises
fêtait ses 30 ans. Il était prévu que j'aille
passer une semaine avec un groupe d'enfants et
leurs 2 animatrices au
camping de St Bonnet de Joux. (71). Pour préparer cette semaine
d'atelier, un atelier a été organisé lors des
journées anniversaire, afin de servir de "vitrine" de
l'activité pour inciter aux inscriptions.
L'article
de presse sur l'atelier des 30 ans du Centre des Bleuets.
.
Cette même annèe, à Cublize (69)
au Lac de Sapins, était organisé un festival de
marionnettes sur les 2 mois de juillet et d'août. : "Chignol au
lac". Chignol étant à la fois un des noms
présumés qui a formé celui de Guignol, mais aussi
une "réducion" de celui de Chignolo, un artiste qui a
planté son chapiteau de cirque au bord du lac, et dans lequel se
déroulaient les spectacles. Nous avons eu la chance d'un
très beau temps et d'une affluence au lac. En attendant la
baignade, les enfants pouvaient venir aux spectacles de marionnettes
aussi variés que possible. Et des ateliers de construction se
sont organisés sous les barnums que nous avions montés
à l'extérieur. Des ateliers organisés
généralement comme dans les foires, les enfants arrivant
à tous moments pour se fabriquer une marionnette, mais parfois
selon un fonctionnement proche de celui des écoles, notamment
pour un groupe de filles qui a construit des autruches pour
présenter une chorégraphie.
Près du lac se trouvait une colonie de
vacances Grillons et Cigales, qui accueillait des enfants non voyants
ou très mal voyants. Ils sont venus x fois assister à des
spectacles. Cela a été une découverte. J'ai
souvent été sidéré de les voir s'entraider,
de voir ceux qui voyaient un peu raconter ce qui se passait sur
scène à l'oreille de ceux qui ne voyaient rien.
.
. Puis un jour, un des animateurs m'a demandé si je
pouvais organiser un atelier pour des groupes d'enfants de leur colo.
Ma première réaction fut un grand moment de panique.
J'avais déjà fait des ateliers auxquels avaient
participé des enfants handicapés, la plupart trisomiques.
J'avais même eu un jour un petit garçon sourd avec une
aide de vie qui lui répétait mes propos en langage de
signes. Mais ils voyaient, du moins au sens où nous, qui avons
la chance d'être valides l'entendons. Là, c'était
totalement différent. J'avais une réelle peur de ne pas
être à la hauteur. J'ai fini par accepter sous les
encouragements tant des autres marionnettistes présents que des
animateurs de la colo.

Ateliers en famille avant la baignade. |

Maman et fils se sont fabriqué leur
marionnette. |

Atelier avec des enfants d'âge
différents. |

Les enfants de la colonie Grillons et Cigales.
1er groupe de grands. |

Colonie Grillons et Cigales le goupe des
petits.. J'ai été bluffé par leurs
réalisationss. |

Songez qu'ils sont tous non-voyants ... |
Une fois les enfants installés, j'ai respiré un
grand coup et je me suis lancé. Les animateurs se sont
placés derrière les enfants à raison d'un
animateur pour 2 enfants. Sur leurs conseils, le matériel avait
été disposé un peu différemment de
façon à éviter tout problème du genre de la
timbale d'eau renversée et de façon rigoureusement
identique pour tout le monde. La première chose à faire a
été de leur faire tout reconnaitre et situer avec leurs
doigts. Ensuite, l'atelier a suivi son cheminement habituel sinon que
tout était "vu" au toucher et non avec les yeux. Et cela n'a pas
eu d'autre conséquence sur le déroulement, sinon qu'il
fallait un peu plus de temps (mais à peine) pour chaque
opération .
La semaine
suivante, un des animateurs m'a demandé si je pouvais prendre un
atelier d'ados pour faire... des marionnettes à fils... Autre
grand moment de panique interne. L'atelier avec les petits et les
grands s'était bien passé, mais les marionnettes à
fils, c'est quand même autre chose, et bien plus difficile.
Aprés discussion avec les animateurs et d'autres marionnettistes
présents pour déterminer comment faire par rapport
à l'habitude, j'ai accepté de leur faire construire des
autruches à 4 fils. La seule chose qu'il leur était
quasiment impossible de faire, c'était la découpe des
pieds et du bec. Par contre ils pouvaient les tracer. Les animateurs se
chargeraient de les découper. Quant aux fils de nylon, ils
seraient remplacés par de la fine ficelle de cuisine. L'atelier
dont malheureusement je n'ai pas de photos, s'est merveilleusement
passé. J'ai été fasciné de les voir tater
leur marionnette et déterminer des emplacements avec leurs
doigts,, que ce soient ceux du bec, des yeux, des pattes. Et le
résultat visuel pour nous qui voyons était très
proche de ce qui est habituellement réalisé.
Certains, qui n'étaient pas non-voyants de naissance
connaissaient leurs couleurs et j'étais admiratif de la
façon où ils les avaient assorties sur leurs autruches.
En fait, une fois que l'atelier a été fini, j'ai
réalisé que celui qui avait peur de ne pas y arriver ou
de ne pas être à la hauteur, c'était moi...
.
La seconde semaine d'août, je suis allé
à Charolles, au centre de loisirs des Bleuets dont j'ai
parlé plus haut. Avec une dizaine d'enfants et leurs 2
animatrices, j'ai passé une semaine au camping de Saint Bonnet
de Joux (71). Nous avons monté un spectacle ; les 3 langages.
Dans le livre Milan de contes, il est présenté comme un
conte russe, mais il est très similaire à un conte des
frères Grimm du même nom. Les enfants travaillaient
essentiellement le matin, l'après-midi était
consacré à des activités autres telles que sortie
à la piscine, et même le 11 aout, observation de
l'éclipse totale de soleil ... Après cette observation
nous avons fait une première répétition et le
vendredi le spectacle a été présenté aux
autres enfants du centre.

La scéance de répétition. La station Mir ne
s'étant pas écrasée sur nous, nous avons pu
répéter. |

Le lendemain, présentation du spectacle. Ici le salut des
marionnettes. |

Et le spectacle fini, c'est le salut au public. |
|
.
Je garde vraiment un très bon souvenir de cette semaine au
camping. Je renouais en quelque sorte avec les séjours en
colonie de vacances. Les enfants dormaient dans 2 grandes tentes avec
une animatrice par tente et moi dans ma caravane. Nous avions
monté 2 barnums et installé tables et bancs dessous. Les
repas nous étaient amenés de Charolles. Les animatrices
étaient de très haut niveau et avaient un formidable
contatct avec les enfants. Pas la moindre séance de larmes des
enfants. Le soir, des animateurs venaient du centre partager le repas
avec nous et improviser des veillées.
.
Le dernier trimestre de l'année 1999 a
été consacré à des spectacles, avec
toutefois une exception. Un atelier dans une école pas
très loin de Gueugnon en Saône et Loire. Une des plus
navrantes expèriences de ma vie de marionnettiste.
Nous sommes allés à 2 pour faire cet
atelier. Ma collégue se chargeait de la classe des petits
et moi des grands. Il existait une porte mitoyenne pour que nous
puissions prendre le matériel au fur et à mesure des
besoins. L'enseignant qui était dans la classe avec moi a
passé sa journée assis à son bureau, totalement
plongé dans... des corrections, peut-être. A aucun moment
il n'a levé les yeux vers nous. Le
désintérêt le plus total. Il régnait une
ambiance pesante, quasiment sans un bruit sauf pour aller en
récréation, à la cantine ou partir... seuls
moments où il levait les yeux.
Les enfants
ont réalisé de jolies marionnettes, mais on sentait que
le coeur n'y était pas. Ça m'a fait de la peine pour eux.
.
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EVOLUTION
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AUTRES
LIENS
Voici les liens
vers les 4 types d'ateliers
différents, si vous souhaitez ouvrir les pages qui y sont
consacrées :
- celui de
Jambles (71), réalisé dans une école primaire et
maternelle. Jambles
- celui du LEPA de Tournus (71) avec des élèves
de bac pro. LEPA
Tournus
- celui du collége d'Henrichemont (18) avec des
élèves de 6ème et de 5ème. Collège
henrichemont
- les stages d'une semaine avec montage
d'un spectacle à Recy (51). Ateliers de Recy
(cliquez
sur les liens si vous voulez ouvrir les pages, fermez l'onglet qui
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